dans Langue française
Bonjour,
Vous prie d'excuser mon niveau en Français ( suis espagnol) vivant en France depuis 5 ans environ
Suis nouveau sur le forum je ne sais pas s'il est possible de poser une question "d'ordre d'interprétation "?
En effet cela concerne une phrase et j'aimerais savoir comment vous l'entendez par rapport à une certaine obligation:
Je tente de la poser : Voici la phrase ci-après:
"Toutefois, je vous rappelle que tout inculpé peut faire usage du droit de communication
concernant les pièces détenues dans son dossier".
ma question est surtout de savoir si cette réponse, peut etre assimilée à une invitation de la part de l'auteur de cette lettre à diriger l'inculpé vers le service qui détenait les pièces de son dossier?
Merci de votre réponse
Vous prie d'excuser mon niveau en Français ( suis espagnol) vivant en France depuis 5 ans environ
Suis nouveau sur le forum je ne sais pas s'il est possible de poser une question "d'ordre d'interprétation "?
En effet cela concerne une phrase et j'aimerais savoir comment vous l'entendez par rapport à une certaine obligation:
Je tente de la poser : Voici la phrase ci-après:
"Toutefois, je vous rappelle que tout inculpé peut faire usage du droit de communication
concernant les pièces détenues dans son dossier".
ma question est surtout de savoir si cette réponse, peut etre assimilée à une invitation de la part de l'auteur de cette lettre à diriger l'inculpé vers le service qui détenait les pièces de son dossier?
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Réponses
concernant les pièces détenues dans son dossier
En effet, mais il y a dans ce "toutefois" une nuance ; a-t-on opposé un refus à cet inculpé ? On lui fait remarquer qu'il a droit de voir ces pièces malgré ce refus
Pour connaître la portée exacte du "toutefois", il faudrait savoir ce qui a été dit ou écrit avant cette phrase.
A mon avis, ce n'est pas une "invitation" à consulter le dossier, mais un simple rappel du texte légal, de manière telle que l'inculpé ne puisse pas dire ensuite qu'on ne le lui a pas dit. Chaque sait en effet que le "nul n'est censé ignorer la loi" est une illusion. D'où le rappel.
De toute manière, le futur avocat connaît "la musique" ; mais, comme les juristes disent, "ce qui abonde ne nuit pas".
je suis heureuse d'être avec vous , c'est vraiment un forum d'apprentissage .
j'ai deux petites phrases que je n'ai pas compris ,elles sont employées dans un sens figuré :
1) le 7 janvier ,on tire les Rois .
2) il y a des moutons sous ton lit.
merciiiiiiiii
Pour "tirer les rois", voir ici.
Pour les "moutons sous le lit" : en fait, c'est un rapprochement "visuel". Sous le lit (quand on n'y fait pas le ménage !), s'agglutinent les cheveux, les poussières et les petites plumes échappées de la literie. Cela forme souvent des petites "boules" d'allure moutonneuse...
Muriel
Je suis en train de lire le Tractatus Logico-philisophicus de Wittgenstein, et , je ne sais pas si c'est à cause de la traduction ou si c'est de ma faute, mais une phrase reste obscure. ( Je crois que c'est de ma faute d'ailleurs, car j'ai consulté une autre traduction et elle ne m'éclaire pas davantage. oui j'ai honte )
3.342 - Dans nos notations, il y a bien quelque chose d'arbitraire ; mais ce qui n'est pas arbitraire, c'est que, lorsque quelque chose a été arbitrairement déterminé, alors quelque chose d'autre doit avoir lieu. ( Ceci résulte de l'essence de la notation.)
Autre Traduction
3.342 - Dans nos notations, il y a bien quelque chose d'arbitraire, mais ceci n'est pas arbitraire : lorsque nous avons arbitrairement déterminé quelque chose, alors quelque chose d'autre doit avoir lieu
Le début me va. La notation est arbitraire ; on institue tel signe plutôt que tel autre sans raison valable autre qu'il faille un signe.
Mais que signifie ce " lorsque quelque chose a été arbitrairement déterminé, alors quelque chose d'autre doit avoir lieu" ?
Mais mon interprétation est celle que l'on pourrait trouver dans un roman policier. Comme il s'agit ici d'un traité logique, nous pouvons supposer que cette détermination arbitraire dissimule une faute de raisonnement (sophisme).
Je veux comprendre, dans la partie en italique, ce que dit exactement Heathcliff.
1. 'cette insipide figure de cire', qui est-ce que cela désigne ?
a) elle(Isabelle) ? --- en ce cas, comment pourrait-il vivre seul avec elle ?
b) Heathcliff lui-même ?
2. 'Les plus communes', qu'est-ce que ca veut dire ?
si l'on utilise le mot 'communes' comme adjectif, quel pourrait être son nom qualifié ?
3. 'son' et 'ses', qui est le possesseur ?
a) elle(Isabelle) ?
b) Heathcliff lui-même ?
4. 'ils', placés après deux-points, qu'est-ce qu'il désigne ?
a) ses yeux ?
b) son visage et ses yeux ?
J'attendrais modestement vos réponses.
Quand quelqu'un dit qu'il vit seul avec une personne, cela veut dire qu'il n'y a pas d'autres personnes que lui qui vive avec cette personne.
Les plus communes = Les choses étranges les plus communes, c'est-à-dire les plus fréquentes.
Comme c'est Heathcliff qui parle, les déterminants possessifs son, ses... ne peuvent le désigner comme possesseur : si c'était le cas, on aurait mon, mes...
Le blanc visage, les yeux, appartiennent ici à la personne dont il parle : Isabelle
Le pronom ils désigne "ses yeux", "les yeux d'Isabelle".
je me permets de venir poster ici une phrase que je pense comprendre mais savoir réellement l'expliquer car "formalisation" me gêne ...
Il s'agit d'économie / management et je ne sais pas si ça a un sens particulier. Si vous aviez un synonyme histoire de mieux comprendre la phrase ça serait super
"Cette approche de la stratégie en termes de compétences et capacités autorise une formalisation des stratégies de rupture, où l’entreprise ne se contente plus de jouer le jeu concurrentiel mais en modifie les règles à son avantage."
Merci, réponse urgente, donc si vous savez n'hésitez pas
La formalisation est l'explicitation et la détermination des règles suivant lesquelles on raisonne dans le cadre d'une théorie, d'un système logique.
Un synonyme possible = exposé structuré...
Il me semble que le passage 'Une porte à pousser' est dit au sens figuré.
Je voudrais en savoir le sens propre, avec quelques explications (si cela ne vous gênerait pas...).
Merci, d'avance.
Ah! ma maudite capacité d'expression !
J'en sais le sens propre : ouvrir une porte.
Mais je ne comprends pas palpablement le sens figuré dans le contexte ; parce que, le "Une porte à pousser" me semble être hors de contexte.
Si l'on réécrit cette proposition infinitive(ou syntagme nominal) en proposition conjuguée ?
Une fois encore lamaneur, je t'en prie.
Ici, il me semble que le fait de pousser une porte indique quelque chose de difficile, de pénible à faire pour la personne qui s'exprime. Ça vient un peu doubler le fait d'avoir la gorge nouée. D'après le contexte, il semble que ce soit la difficulté de la personne devant quelqu'un qui est gravement malade et/ou qui va mourir. Peut-être d'ailleurs la porte à pousser est-elle au sens propre la porte de la chambre d'hôpital qu'on pousse avec appréhension avant d'entrer dans la chambre d'un malade ou d'un mourant.
Sur le plan syntaxique, ce bout de phrase "une porte à pousser" (une porte que je dois pousser) est un peu bizarre, isolé, non relié à ce qui précède et ce qui suit. C'est une sorte de notation d'une impression qu'on a. À moins qu'on rattache ce bout de phrase à "j'ai" : "j'ai la gorge nouée, j'ai une porte à pousser".
D'autres avis permettront peut-être d'autres interprétations.
Je n'ai plus qu'à faire une chose : te demander... !
Merci, lamaneur.
"Quant à l’intimité, elle est nettement moindre à la maison qu’au restaurant qui ne se prête qu’aux comportements convenus."
Il y a moins d´intimité chez soi qu´au restaurant ? Cela devrait plutôt être l´inverse, non ?
Et nous ne sommes pas les seuls, semble-t-il :
https://forum.wordreference.com/showthread.php?t=2593149&langid=6