Mais maintenant, c’est moi qui ai le dessus.
Ou
Mais maintenant c’est moi qui aie le dessus.
je conjugue : "mais maintenant c'est toi qui as le dessus." ? Et si les des deux se disent : "c'est toi qui aies le dessus." ?
Quand l'un ou l'autre se dit ?
C'est moi qui ai le dessus. Si tu changes de verbe ( être par exemple) tu retrouves l'indicatif : c'est moi qui suis la première.
On écrit comment :
Entend-elle ou entend-elle ?
Répond-elle ?
Prend-elle ?
Le "d" reste mais se prononce "t".
Le complément d'objet direct est un l', mais est-ce que ça s'accorde ou ne reste pas invariable dans certain cas ?
Cette manie… Sans doute le choc émotionnel l’a-t-elle fait revenir de plus belle !
Ou
Cette manie… Sans doute le choc émotionnel l’a-t-elle faite revenir de plus belle !
Lorsque "fait" est suivi d'un infinitif, il est toujours invariable : Sans doute le choc émotionnel l’a-t-elle fait revenir de plus belle ! Cette phrase est juste.
Des choses de la vie que j’avais sues observer…
Ou
Des choses de la vie que j’avais su observer…
que j'avais sues observer ou que j'avais su observer(ce sont les choses)
Accord ou invariable ?
Même remarque : "su" est suivi d'un infinitif, donc il est invariable.
Merci pour vos réponses. Donc j'avais fautes ensuite en voulant me corriger trop bien. J'en arrive à y perdre mon latin plus j'approfondis mon français.
Ma question était :
Entend-t-elle ou entend-elle ?
Une solution comme une autre, c'est de fouiller par exemple dans les textes de Guy de Maupassant pour trouver ses réponses, mais c'est long à faire.
J'attends de vous la perfection (si je puis dire) quand je vous pose une question car c'est pour un de mes livres et vous êtes alors mon dernier espoir ou recours. Maintenant, il n'y a presque plus de correcteurs. L'auteur doit se taper le travail jusqu'au bout et plus encore : il doit faire mieux que d'écrire son idée, il doit aussi penser son écriture dans le sens orthographique, en plus de le rendre compréhensible et juste.
Même après des kilomètres d'écriture, un auteur se rend compte qu'il ne doit pas se fier à son orhtographe, et qu'il a encore des lacunes qui sauteront aux yeux des lecteurs connaissant certaines règles que lui n'aura pas su observer.
Je suis sur le point d'envoyer le dernier montage. Je suis en retard.
Ensuite je viendrai volontiers vous aider aux réponses car bienheureuse de vous trouver pour m'aider.
Mais si tu cherches sur Internet, via Google, tu vas trouver de quoi en perdre ton latin et tu finis par te dire qu'il faut écrire : entend-t-elle. Et moi je crois que je sais plus tout à coup. Besoin alors de me faire recentrer...
Un verbe prend un "t" euphonique devant "elle", seulement si ce verbe se termine par une autre lettre que "d" ou "t".
Quand aux correcteurs professionnels de manuels (ça existe encore) mais ils ont des honoraires élevés qui n'autorisent pas tous les écrivains à faire appel à leurs services.
Les réponses sont exactes, mais voici la règle : elle concerne la 3e personne du singulier du verbe en INVERSION (notamment, dans l’interrogation soutenue et dans la sous-phrase incise).
UN T ANALOGIQUE (ENTRE TIRETS) DOIT ÊTRE INSÉRÉ LORSQUE LE VERBE
- SE TERMINE PAR A, E OU C
- ET EST SUIVI D’UN PRONOM SUJET IL, ELLE OU ON.
Je vous remercie de me ramener sur les bancs de l'école.
Henry, je ne souhaite pas de correcteur car il devrait forcément connaître bien les subtilités de la langue mais en plus celles de l'auteur, et pour celles de l'auteur ce n'est pas toujours évident de bien les saisir. Quand l'auteur parvient lui-même à maîtriser toutes les difficultés qu'il met en évidence par son écriture, il gagne en argent, en temps, et en force (écriture et maîtrise) autant qu'en qualité. Mais avec votre aide ici, je trouverai certainement un secours qui me renseignera et m'enseignera chaque fois que nécessaire, ce sera avec plaisir.
Me revoilà avec mes problèmes d'accord ! XD
J'crois bien que c'est l'une des seules lacunes qu'il me reste à l'heure actuelle, et j'aimerais pouvoir la combler, ce afin d'avoir au moins une qualité, en l'occurrence un français 'presque' irréprochable.
J'aimerais donc savoir comment on écrit ceci.
Il s’avère en effet que j’ai graduellement vu s'éveiller en moi des groupes de sensations spirituelles que je n’aurais jamais cru toucher un jour ; au fil des évènements, sur un cahier intime, je les ai notés, je les décrivais, et j'acceptais cette spontanéité avec engouement.
Noté quoi ? Les groupes de sensations spirituelles.
J'ai bon ?
Édit : Ou alors c'est : Qui les a noté ? Moi, donc sans -s ?
Selon le sens, je ferais plutôt l'accord avec sensations.
As-tu noté des groupes ou des sensations ?
De même que ce sont des sensations qui se sont éveillées plutôt que des groupes.
Ton accord est correct si tu donnes l'importance au mot "groupes".
Pour ma part, je donnerais l'importance à "sensations spirituelles" et j'accorderais avec elles, j'écrirais donc :
Il s’avère en effet que j’ai graduellement vu s'éveiller en moi des groupes de sensations spirituelles que je n’aurais jamais cru toucher un jour ; au fil des évènements, sur un cahier intime, je les ai notées, je les décrivais, et j'acceptais cette spontanéité avec engouement.
... parce que ce que "Je n'aurais jamais cru toucher" ; ce que "je décrivais" : ce sont les sensations, et non les groupes (enfin... il me semble).
À voir...
Muriel
Édit : Répondre au téléphone a fait que je n'avais pas vu que Jean-Luc avait déjà répondu... Ce n'est pas grave... Tu as donc deux réponses qui préfèrent les "sensations" aux "groupes" !
je les ai notés/notées
Je suis d'accord avec Muriel et Jean-Luc ; et le terme "groupes" pour sensations, je sais pas, ça l'fait pas
K' tu hésitais entre l'accord avec le COD (quoi) et avec le sujet (qui). Attention ! avec l'aux avoir le participe passé s'accorde (ou pas) avec le COD ; avec l'aux être, toujours avec le sujet (attribut)
Ton accord est correct si tu donnes l'importance au mot "groupes".
Pour ma part, je donnerais l'importance à "sensations spirituelles" et j'accorderais avec elles, j'écrirais donc :
Il s’avère en effet que j’ai graduellement vu s'éveiller en moi des groupes de sensations spirituelles que je n’aurais jamais cru toucher un jour ; au fil des évènements, sur un cahier intime, je les ai notées, je les décrivais, et j'acceptais cette spontanéité avec engouement.
... parce que ce que "Je n'aurais jamais cru toucher" ; ce que "je décrivais" : ce sont les sensations, et non les groupes (enfin... il me semble).
À voir...
Muriel
Édit : Répondre au téléphone a fait que je n'avais pas vu que Jean-Luc avait déjà répondu... Ce n'est pas grave... Tu as donc deux réponses qui préfèrent les "sensations" aux "groupes" !
En voilà une troisième. Une suggestion :
Il s’avère, en effet, que j’ai graduellement vu s'éveiller en moi des groupes de sensations spirituelles que je n’aurais jamais cru toucher un jour. Au fil des évènements, je les notais sur un cahier ; je les décrivais et acceptais cette spontanéité avec engouement.
Marjeanne, non non et non. Merci beaucoup pour votre proposition, mais, après tout cela, ce n'est plus mon style. Il est vrai toutefois que cela fonctionne également.
PS : Il s'agit d'une préface où l'auteur s'exprime, parle directement au lecteur. De ce fait, les virgules avant et après 'en effet' sont pour moi malvenues, si l'on s'en tient au parler.
Henri, bien sûr que j'ai reviendrai, j'ai tant à apprendre encore ! La connaissance n'a pas de limites.
Réponses
Le "d" reste mais se prononce "t".
Lorsque "fait" est suivi d'un infinitif, il est toujours invariable : Sans doute le choc émotionnel l’a-t-elle fait revenir de plus belle ! Cette phrase est juste.
Même remarque : "su" est suivi d'un infinitif, donc il est invariable.
Ma question était :
Entend-t-elle ou entend-elle ?
Une solution comme une autre, c'est de fouiller par exemple dans les textes de Guy de Maupassant pour trouver ses réponses, mais c'est long à faire.
J'attends de vous la perfection (si je puis dire) quand je vous pose une question car c'est pour un de mes livres et vous êtes alors mon dernier espoir ou recours. Maintenant, il n'y a presque plus de correcteurs. L'auteur doit se taper le travail jusqu'au bout et plus encore : il doit faire mieux que d'écrire son idée, il doit aussi penser son écriture dans le sens orthographique, en plus de le rendre compréhensible et juste.
Même après des kilomètres d'écriture, un auteur se rend compte qu'il ne doit pas se fier à son orhtographe, et qu'il a encore des lacunes qui sauteront aux yeux des lecteurs connaissant certaines règles que lui n'aura pas su observer.
Je suis sur le point d'envoyer le dernier montage. Je suis en retard.
Ensuite je viendrai volontiers vous aider aux réponses car bienheureuse de vous trouver pour m'aider.
Merci.
Marjeanne.
Puisqu'il s'agit d'être efficace,
la réponse est entend-elle.
Merci Jean-Luc.
Marjeanne
Jean-Luc s'est volontairement voulu bref.
Si vous voulez en savoir un "zeste" de plus :
Un verbe prend un "t" euphonique devant "elle", seulement si ce verbe se termine par une autre lettre que "d" ou "t".
Quand aux correcteurs professionnels de manuels (ça existe encore) mais ils ont des honoraires élevés qui n'autorisent pas tous les écrivains à faire appel à leurs services.
Les réponses sont exactes, mais voici la règle : elle concerne la 3e personne du singulier du verbe en INVERSION (notamment, dans l’interrogation soutenue et dans la sous-phrase incise).
UN T ANALOGIQUE (ENTRE TIRETS) DOIT ÊTRE INSÉRÉ LORSQUE LE VERBE
- SE TERMINE PAR A, E OU C
- ET EST SUIVI D’UN PRONOM SUJET IL, ELLE OU ON.
* Viendra-t-il ? Viendra-t-elle ? Viendra-t-on ?
* Aime-t-il ? Aime-t-elle ? Aime-t-on ?
* Vainc-t-il ? Convainc-t-elle ? Convainc-t-on ?
* Je suis d’accord, a-t-il répondu.
* Aussi a-t-il perdu son temps.
* Puisse-t-elle réussir !
Extension par analogie : après voilà.
* Ne voilà-t-il pas que…
A contrario (un T est inutile, puisque la consonne est ici prononcée) :
* Comprend-il ? Surprend-elle ?
* Que prend-on ? Qu’entend-on ?
Henry, je ne souhaite pas de correcteur car il devrait forcément connaître bien les subtilités de la langue mais en plus celles de l'auteur, et pour celles de l'auteur ce n'est pas toujours évident de bien les saisir. Quand l'auteur parvient lui-même à maîtriser toutes les difficultés qu'il met en évidence par son écriture, il gagne en argent, en temps, et en force (écriture et maîtrise) autant qu'en qualité. Mais avec votre aide ici, je trouverai certainement un secours qui me renseignera et m'enseignera chaque fois que nécessaire, ce sera avec plaisir.
Encore merci.
Marjeanne
J'crois bien que c'est l'une des seules lacunes qu'il me reste à l'heure actuelle, et j'aimerais pouvoir la combler, ce afin d'avoir au moins une qualité, en l'occurrence un français 'presque' irréprochable.
J'aimerais donc savoir comment on écrit ceci.
Noté quoi ? Les groupes de sensations spirituelles.
J'ai bon ?
Édit : Ou alors c'est : Qui les a noté ? Moi, donc sans -s ?
Merci beaucoup,
K'.
Selon le sens, je ferais plutôt l'accord avec sensations.
As-tu noté des groupes ou des sensations ?
De même que ce sont des sensations qui se sont éveillées plutôt que des groupes.
Ton accord est correct si tu donnes l'importance au mot "groupes".
Pour ma part, je donnerais l'importance à "sensations spirituelles" et j'accorderais avec elles, j'écrirais donc :
... parce que ce que "Je n'aurais jamais cru toucher" ; ce que "je décrivais" : ce sont les sensations, et non les groupes (enfin... il me semble).
À voir...
Muriel
Édit : Répondre au téléphone a fait que je n'avais pas vu que Jean-Luc avait déjà répondu... Ce n'est pas grave... Tu as donc deux réponses qui préfèrent les "sensations" aux "groupes" !
Je suis d'accord avec Muriel et Jean-Luc ; et le terme "groupes" pour sensations, je sais pas, ça l'fait pas
K' tu hésitais entre l'accord avec le COD (quoi) et avec le sujet (qui). Attention ! avec l'aux avoir le participe passé s'accorde (ou pas) avec le COD ; avec l'aux être, toujours avec le sujet (attribut)
Merci à vous trois, tout d'abord.
Ensuite, en effet, dans mon bouquin j'ai accordé ceci au féminin pluriel, après mûre réflexion.
Amicalement,
K'.
Pour la question que tu poses dans ton "édit" : et que Jean-Luc et moi n'avions pas vue, vois cette fiche du site, ici :
https://www.etudes-litteraires.com/grammaire-accord-participe-passe.php
Muriel
Je ne connaissais point ces petites fiches ; c'est fort intéressant, vraiment. Merci beaucoup.
C'est bien plus clair que wikipédia, et effet.
J'espère à présent ne plus à avoir à revenir ici. J'ai eu ma dose de participe passé.
Cordialement,
K'.
Muriel
Sur ce Forum j'ai appris deux choses au moins,
J'crois bien que c'est l'une des seules lacunes qu'il me reste à l'heure actuelle,...
Même les plus forts dans ce temple du savoir (!), rendent tirent parfois la langue.
J'espère à présent ne plus à avoir à revenir ici.
Mais c'est pas gentil ça, et puis il faut savoir que
rien n'est irréversible :
Je viens... je suis bien... je reviens...
En toute amitié bien sûr
Marjeanne, non non et non. Merci beaucoup pour votre proposition, mais, après tout cela, ce n'est plus mon style. Il est vrai toutefois que cela fonctionne également.
PS : Il s'agit d'une préface où l'auteur s'exprime, parle directement au lecteur. De ce fait, les virgules avant et après 'en effet' sont pour moi malvenues, si l'on s'en tient au parler.
Henri, bien sûr que j'ai reviendrai, j'ai tant à apprendre encore ! La connaissance n'a pas de limites.
Cordialement,
K'.
J'ignorais.
C'est pourquoi j'avais précisé "suggestion". Evidemment à prendre ou à laisser.
Bonne préface !