Méthode commentaire Méthode dissertation

Montaigne, Essais, I, chapitre 31 - Des Cannibales

Bonjour,

J'ai un commentaire littéraire à faire sur, "Essais" de montaigne, le chapitre 31 : "des cannibales" , de ""[...]or je trouve pour revenir a mon propos, qu'il n'y a rien de barbare [...] à , elle fait une merveilleurs honte à nos vaines et frivoles entreprises""

voici mon plan:

I/une vision positive du sauvage .
a)un texte construit sur les différents sens du terme.
b)un éloge de l'état de nature et du sauvage.
II/une thèse originale
a)défend les populations découvertes/critique les européens.
b)arguments : pourquoi l'éloge des uns/ la critique des autres?


merci de votre aide.
«13456

Réponses

  • Quel est ton problème ?
  • maya02maya02 Membre
    Bonjour,

    Dans un moi, j'ai le bac à l'oral, et j'ai un extrait du chapitre XXXI du livre I des essais de Montaigne, cependant j'ai un problème, car je n'ai pas vraiment compris ce texte, notre professeur ne nous a pas donné de lecture analytique.. alors je suis perdue, je ne voudrais pas tomber sur ce texte au bac et tout rater car je ne l'ai pas étudié.. si quelqu'un pourrait m'aider.. merci merci

    le voici :
    "Or je trouve, pour revenir à mon propos, qu'il n'y a rien de barbare et de sauvage en cette nation, à ce qu'on m'en a rapporté, sinon que chacun appelle barbarie ce qui n'est pas de son usage ; comme de vrai, il semble que nous n'avons autre mire de la vérité et de la raison que l'exemple et idée des opinions et usages du pays où nous sommes. Là est toujours la parfaite religion, la parfaite police, parfait et accompli usage de toutes choses. Ils sont sauvages, de même que nous appelons sauvages les fruits que nature, de soi et de son progrès ordinaire, a produits : là où, à la vérité, ce sont ceux que nous avons altérés par notre artifice et détournés de l'ordre commun, que nous devrions appeler plutôt sauvages. En ceux-là sont vives et vigoureuses les vraies et plus utiles et naturelles vertus et propriétés, lesquelles nous avons abâtardies en ceux-ci, et les avons seulement accommodées au plaisir de notre goût corrompu. Et si pourtant, la saveur même et délicatesse se trouve à notre goût excellente, à l'envi des nôtres, en divers fruits de ces contrées à sans culture. Ce n'est pas raison que l'art gagne le point d'honneur sur notre grande et puissante mère Nature. Nous avons tant rechargé la beauté et richesse de ses ouvrages par nos inventions que nous l'avons du tout étouffée. Si est-ce que, partout où sa pureté reluit, elle fait une merveilleuse honte à nos vaines et frivoles entreprises."
    merci..
  • MOntaigne ici oppose le monde Barbare (à peine découvert et déjà jugé) et le monde civilisé (celui dans lequel il vit)
    il se met hors de celui-ci , prend du recul pour se placer comme témoin : en disant que la barbarie n'est pas là où on le pense...La civilisation a touché à la nature.... role de la religion...

    quelle grande partie peux-tu alors extraire?
    à toi !
  • maya02maya02 Membre
    merci, donc par exemple :
    I-préjugés du monde "barbare"
    II-condamnation des européens
    (en gros quoi..)
  • Jean-LucJean-Luc Modérateur
    Bonjour Maya,

    Ce texte est extrait du chapitre Des cannibales.
    Montaigne argumente autour de l'opposition entre nature et culture.

    Ce chapitre est très important pour la pensée critique occidentale, il analyse la sauvagerie des habitants du Nouveau monde et la montre plus enviable que la cruauté des civilisés : les barbares ne sont pas ceux qu'on pense. En s'appuyant sur une relation de voyage de Léry (qui a servi aussi pour la récente rédaction de Rouge Brésil, le roman de Ruffin), Montaigne inaugure le mythe du bon sauvage, qu'exploiteront les philosophes des siècles ultérieurs (surtout Diderot et Rousseau).

    Contexte : Montaigne dit s'appuyer sur le témoignage d'un compagnon de Villegagnon (expédition de la France antarctique (i.e. le Brésil), 1555-1561), qui est ensuite entré à son service. En fait, il a surtout lu la relation d'André Thevet (c'est le cosmographe qu'il critique au début de cet essai) et surtout celle de Jean de Léry, Histoire d'un voyage en terre de Brésil (1578), qui décrit longuement les coutumes des indiens Tupinamba (Caraïbes) du Brésil. Il a sans doute aussi lu le pamphlet de Bartolomé de Las Casas, La Dévastation des Indes (1552), violente dénonciation du génocide commis par les Espagnols en Amérique.

    Thèse : Montaigne démontre que malgré les apparences des coutumes (surtout le cannibalisme), les indiens honorent les mêmes valeurs que les Européens, mais avec plus de sincérité et de cohérence. Montaigne n'est pas favorable à ces coutumes mais il dénonce les apparences de civilisation chez les Européens qui se réfugient derrière elles pour dissimuler leur sauvagerie. C'est donc une expression paradoxale.

    Il oppose ainsi le naturel à l'artificiel, le barbare au civilisé. Les Indiens sont plus près de la nature et moins corrompus que leurs colonisateurs qui dévoient leurs qualités en créant des produits artificiels. Les Indiens ont cette pureté originelle (préadamite en quelque sorte) dont les Européens se sont éloignés. La civilisation ne serait à tout prendre qu'une hypocrisie. Montaigne introduit aussi la notion de relativité : l'usage n'est pas suffisant pour justifier le bien-fondé des coutumes. L'humaniste encourage à aller voir ailleurs et à faire preuve d'esprit critique. Il dénonce la prétendue supériorité européenne.
  • maya02maya02 Membre
    merci beaucoup maintenant j'ai bien compris, merci :)
  • Bonjour à tous, je dois rendre un devoir dans la semaine au sujet du chapitre 31 des Essais de Montaigne.

    "Or je trouve, pour revenir à mon propos, qu'il n'y a rien de barbare et de sauvage en cette nation, à ce qu'on m'en a rapporté, sinon que chacun appelle barbarie ce qui n'est pas de son usage ; comme de vrai, il semble que nous n'avons autre mire de la vérité et de la raison que l'exemple et idée des opinions et usages du pays où nous sommes [...] du temps qu'il y avait des hommes qui en eussent su mieux juger que nous."
    Je dois faire une réponse argumentée à cette question:

    "Comment Montaigne s'y prend-il pour emporter l'adhésion de son lecteur ?"

    Voilà si quelqu'un a des idées qu'il me les face parvenir je lui en serais très reconnaissant.

    J'ai vu en cours qu'il parvenait a faire adhérer son lecteur par l'ironie, qu'il convainc par des citations de Platon. Mais cela reste léger pour rendre un devoir complet.

    Merci
  • Bonjour, pour mieux comprendre le sens du texte j'essaie de faire le plan de l'essai de Montaigne
    "Or je trouve, pour revenir à mon propos[...]éloignée de cette perfection? Hos natura modos primum dedit"
    Je m'en sors pas du tout parce que je me rends compte que je n'ai pas réellement compris le texte. Si on pouvait me donner un petit coup de pouce ça m'arrangerai. Merci d'avance.
  • bonjour,
    j'ai aussi un commentaire de texte a faire sur Essais livre I chapitre 31 Des cannibales de Montaigne
    "Trois d'entre eux, ignorant combien coûtera un jour à leur repos et à leur bonheur la connaissance des corruptions de deçà, et que de ce commerce naîtra leur ruine, comme je présuppose qu'elle soit déjà bien avancée, bien misérables de s'être laissé piper au désir de la nouvelleté, et avoir quitté la douceur de leur ciel pour venir voir le nôtre, furent à Rouen, du temps que le feu Charles neuvième y était. [...] Tout cela ne va pas trop mal : mais quoi, ils ne portent point de hauts-de-chausses!"
    c'est pour mon oral blanc qui arrive dans une semaine et je n'ai pas grand chose!
    en tout cas je n'arrive pas a organiser mes idées
    d'ailleurs je vous donne ce que je sais:
    - genre autobiographique (pronoms de la parole, temps du récit, présent d'énonciation, cadre spatio-temporel, honnêteté du narrateur)
    - différences culturelles (pouvoir politique( pouvoir royal différent entre les occidentaux et les brésiliens), absence de moeurs (vêtements), différence sociale (solidarité))
    - désintéressement des français par rapport aux brésiliens ils ne demandent que leurs avis sur la culture et le monde français et pas sur le Brésil
    - l'intérêt du texte: Montaigne nous montre que les brésiliens sont aussi avancés que les occidentaux si ce n'est supérieur car ils considèrent avant tout l'être humain et non pas sa fonction
    - le discours indirect est employé par Montaigne (exemple "ils dirent qu'ils trouvaient...") car en discours direct, il aurait du passer par la phrase en brésilien, puis la traduction puis le français correct

    voila malgré tout je ne trouve aucun plan

    si vous pouviez m'aider merci j'ai une amie qui m'a donnée une intro si ça peut aider (moi ça en m'aide pas...) apparemment cette introduction aurait été faite par sa prof de français!

    Montaigne est un homme impliqué dans son époque : maire de Bordeaux, proche des rois de France et de Navarre, attentif à ses concitoyens.
    Ce sont ses expériences qui lui permettent dans Les Essais dont la première publication est 1580, de porter un regard clairvoyant et humaniste sur l'évolution de l'Homme et de la socièté. Au chapitre 31 du livre Ier intitulé "Des cannibales" il rapporte sa rencontre avec trois brésiliens et le jugement qu'elle amène à porter sur notre civilisation.
    Quelle leçon tire-t-il de son contact avec les "sauvages"?






    je n'ai pas de plan donc ya pas d'annonce dans mon intro mais bon ... si vous avez une idée!
  • Jean-LucJean-Luc Modérateur
    Bonjour Claire,

    Apparemment tu ne nous rapportes pas tout le texte, il sera donc difficile de t'aider.
    Ce texte s'organise autour de plusieurs couples qui provoquent à la réflexion :
    - morale et savoir, morale et civilisation,
    - nature et culture,
    - différences et uniformité...
    - plus subtil : désir de savoir humaniste et ses dangers.
    C'est un texte d'humaniste. N'insiste pas sur l'autobiographie car Montaigne ici ne rappelle pas des faits de sa propre existence. Nous sommes dans le genre de l'essai où Montaigne confronte sa propre expérience à celles des livres.
  • Salut!
    Claire L s'agit-il du texte intégral sur lequel porte ton commentaire?
  • je vous mets le texte en entier
    " trois d'entre eux, ignorant combien coûtera un jour a leur repos et a leur bonheur la connaissance des corruptions de deçà [ de ce côté ci de l'Océan], et que de ce commerce [= relations] naîtra leur ruine, comme je présuppose qu'elle soit déjà avancée, bien misérables de s'être laissé piper [= tromper] au désir de la nouvelleté, et avoir quitté la douceur de leur ciel pour venir voir le nôtre, furent a Rouen, du temps que le feu Charles neuvième y était. Le Roi parla à eux longtemps ; on leur fit voir notre façon [=usages], notre pompe, la forme d'une belle ville. Après cela, quelqu'un en demanda leur avis, et voulut savoir d'eux ce qu'ils y avaient trouvé de plus admirable ; ils répondirent trois choses, d'où [= dont] j'ai perdu la troisième, et en suis bien marri [=ennuyé], mais j'en ai encore deux en mémoire. Ils dirent qu'ils trouvaient en premier lieu fort étrange que tant de grands hommes, portant barbe, forts et armés, qui étaient autour du Roi (il est vraisemblable qu'ils parlaient des Suisses de sa garde), se soumissent à obéir à un enfant [le roi Charles IX avait alors douze ans], et qu'on en choisissait plutôt quelqu'un d'entre eux pour commander ; secondement (ils ont une façon de leur langage telle, qu'ils nomment les hommes moitié les uns des autres) qu'ils avaient aperçu qu'il y avait parmi nous des hommes pleins et gorgés de toutes sortes de commodités, et que leurs moitiés étaient mendiants à leurs portes, décharnés de faim et de pauvreté ; et ils trouvaient étrange comme ces moitiés ici nécessiteuses pouvaient souffrir d'un telle injustice, qu'ils ne prissent les autres à la gorge, ou missent le feu à leurs maisons.
    Je parlai à l'un d'entre eux fort longtemps ; mais j'avais un truchement [=interprète] qui me suivait si mal et qui était si empêché à recevoir mes imaginations [= ici, comprendre mes idées] par sa bêtise, que je n'en pu tirer guère de plaisir. Sur ce que je lui demandai quel fruit il recevait de sa supériorité qu'il avait parmi les siens (car c'était un Capitaine, et nos matelots le nommaient Roi), il me dit que c'était marcher le premier à la guerre ; de combien il était suivi, il me montra une espace [au XVIème siècle le mot est féminin] de lieu, pour signifier que c'était autant qu'il en pourrait [= qu'il en pourrait tenir] en une telle espace, ce pouvait être quatre ou cinq mille hommes ; si, hors la guerre, toute son autorité était expirée, il dit qu'il lui en restait cela que, quand il visitait les villages qui dépendait de lui, on lui dressait des sentiers au travers des haies de leurs bois, par où il pût passer bien à l'aise.
    Tout cela ne va pas trop mal : mais quoi, ils ne portent point de hauts-de-chausses!"
    les mots et phrases entre crochets c'est le lexique donné
  • j'aurais besoin d'aide ... je passe à l'oral mardi! :-s

    Voilà!

    en fait j'ai vu sur un site un plan mais je ne pense pas que ce soit correct parce qu'il sépare le fond et la forme en deux parties...

    je vous donne l'adresse si ça peut vous intéresser:
    http://www.bacdefrancais.net/essais_montaigne.php

    cependant il y a des informations intéressantes!

    En fait mon gros problème c'est surtout d'organiser mes idées autour de deux ou trois axes et ensuite de les séparer selon leur sens pour faire des sous parties!

    moi je ne vois qu'une seule et unique idée a chaque fois (dans ce texte je vois juste que les brésiliens sont mieux que les occidentaux parce qu'ils ont une meilleure morale)

    si vous pouviez me donner un petit coup de main! :)
  • Jean-LucJean-Luc Modérateur
    Bonjour Claire,

    Ce texte s'organise autour de plusieurs couples qui provoquent à la réflexion :
    - morale et savoir, morale et civilisation,
    - nature et culture,
    - différences et uniformité...
    - plus subtil : désir de savoir humaniste et ses dangers.
    C'est un texte d'humaniste. N'insiste pas sur l'autobiographie car Montaigne ici ne rappelle pas des faits de sa propre existence. Nous sommes dans le genre de l'essai où Montaigne confronte sa propre expérience à celles des livres.

    Ton parcours de lecture pourrait consister dans l'examen de ce texte comme représentatif de l'humanisme.

    1 Un humaniste qui apprend à partir de son expérience et non des livres
    Le goût de la nouveauté
    le désir de s'informer directement
    l'esprit critique
    la confrontation des valeurs

    2 la critique implicite de la civilisation
    cupidité
    orgueil
    égoïsme

    3 la supériorité de la nature sur la culture
    les vraies valeurs professées : solidarité, courage, pouvoir de service, mérite.

    Finalement les païens et les barbares sont supérieurs aux chrétiens et aux civilisés qui ne mettent pas en pratique les valeurs évangéliques : Voilà la leçon implicite !
    Les Brésiliens ont fait éclater le cadre de référence pour le plus grand profit du philosophe pragmatique.
  • merci beaucoup Jean-Luc pour votre aide

    c'est une aide très précieuse que vous me fournissez...

    merci encore
  • Jean-LucJean-Luc Modérateur
    J'ai oublié d'insister sur l'humour de la dernière phrase : nos esprits prompts à juger auraient eu tendance à rejeter des êtres qui sont à moitié nus... Montaigne cultive le paradoxe et l'ironie. A rapprocher du fameux : « Comment peut-on être persan ? » de Montesquieu.
  • heylouaheyloua Membre
    Bonjour,

    Je vous présente le texte
    Or je trouve, pour revenir à mon propos, qu'il n'y a rien de barbare et de sauvage en cette nation, à ce qu'on m'en a rapporté, sinon que chacun appelle barbarie ce qui n'est pas de son usage ; comme de vrai, il semble que nous n'avons autre mire de la vérité et de la raison que l'exemple et idée des opinions et usages du pays où nous sommes. Là est toujours la parfaite religion, la parfaite police, parfait et accompli usage de toutes choses. Ils sont sauvages, de même que nous appelons sauvages les fruits que nature, de soi et de son progrès ordinaire, a produits : là où, à la vérité, ce sont ceux que nous avons altérés par notre artifice et détournés de l'ordre commun, que nous devrions appeler plutôt sauvages. En ceux-là sont vives et vigoureuses les vraies et plus utiles et naturelles vertus et propriétés, lesquelles nous avons abâtardies en ceux-ci, et les avons seulement accommodées au plaisir de notre goût corrompu. Et si pourtant, la saveur même et délicatesse se trouve à notre goût excellente, à l'envi des nôtres, en divers fruits de ces contrées à sans culture. Ce n'est pas raison que l'art gagne le point d'honneur sur notre grande et puissante mère Nature. Nous avons tant rechargé la beauté et richesse de ses ouvrages par nos inventions que nous l'avons du tout étouffée. Si est-ce que, partout où sa pureté reluit, elle fait une merveilleuse honte à nos vaines et frivoles entreprises.
    J'aimerai savoir si vous pouvez me dire, qui, dans ce texte est l'énonciateur ?

    Merci d'avance
  • heylouaheyloua Membre
    Personne ?
  • oudoudoudoud Membre
    Bonjour,
    Je fais suite à une discussion que j'ai vue sur le forum et qui date du 25/05/2007 concernant l'extrait du châpitre 1 du livre XXXI des Cannibales de "Or, je trouve pour revenir à mon propos...... jusqu'à ce sont les premières règles que la Nature a données...".
    J'ai ce texte dans ma liste pour l'oral du bac et n'ayant pas fait de lecture analythique avec la prof, je me suis débrouillé comme j'ai pu pour "décortiquer" ce texte.
    Je viens d'avoir connaissance de votre (super) site et j'ai besoin de savoir si vous savez où je peux trouver une analyse de ce texte en totalité.
    D'avance, merci beaucoup.
  • Bonsoir à tous,voila dans le livre "Les Essais" , il y a un passage "Les Cannibales" et pour mercredi je dois présenter le mode de vie des Indiens qui sont dans cet extrait mais malheureusement, le professeur a voulu corser les choses en nous imposants des règles,donc je dois écrire une présentation organisé avec :
    -Trois parties équilibré
    -Deux petites parties dans chacune des trois parties
    J'ai bien entendu lu le passage plusieurs fois mais rien à faire j'ai beaucoup trop de mal à comprendre.
    Merci d'avance et bonne soirée à tous
Connectez-vous ou Inscrivez-vous pour répondre.